
Le CSAP
Notre histoire
Le Conseil scolaire acadien provincial a été fondé en mai 1996, à la suite de l’adoption de la Loi sur l’Éducation de la Nouvelle-Écosse le 1er avril 1996.
À cette époque, il existait déjà quelques écoles acadiennes et elles étaient regroupées sous ce nouveau Conseil avec un siège social à La Butte (Meteghan River) avec trois bureaux régionaux : Sud-Ouest, Central et Nord-Est.
Les Acadiens et Francophones de la Nouvelle-Écosse ont été longtemps privés de la pleine gestion de leurs écoles. Le système scolaire néo-écossais de l’époque n’était pas uniforme et ne reconnaissait pas le droit à l’éducation en français. Bien que la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse (FANE) ait demandé dès 1967 que le droit à l’éducation en français soit reconnu en Nouvelle-Écosse, ce n’est qu’en 1981 que l’Assemblée législative de la province acquiesce à la demande.
La Charte canadienne des droits et des libertés, adoptée en 1982, reconnait le droit à l’éducation dans la langue de la minorité. Ceci marque le début d’une nouvelle ère en ce qui concerne l’éducation en français langue première en Nouvelle-Écosse et au Canada.
L’histoire de l’éducation en français et de la place que prendront la culture et la langue française dans le paysage social de la Nouvelle-Écosse est en constante évolution. Le CSAP participe, par son mandat et son dynamisme, à faire grandir et rayonner l’Acadie de la Nouvelle-Écosse.
Aujourd’hui, les écoles du CSAP sont des exemples de dynamisme et de diversité culturelle. C’est là que se rejoignent les francophones de la province. Qu’ils soient originaires de la Nouvelle-Écosse ou nouvellement arrivés, c’est ici que le futur de la francophonie néo-écossaise se bâtit.
La réussite du CSAP est une réussite pour toute la province de la Nouvelle-Écosse. L’engagement des familles, du personnel ainsi que la profonde connexion entre les écoles et la communauté, contribuent non seulement à la vitalité de la communauté acadienne et francophone, mais au développement social, culturel et économique de la province entière.
À cette époque, il existait déjà quelques écoles acadiennes et elles étaient regroupées sous ce nouveau Conseil avec un siège social à La Butte (Meteghan River) avec trois bureaux régionaux : Sud-Ouest, Central et Nord-Est.
Les Acadiens et Francophones de la Nouvelle-Écosse ont été longtemps privés de la pleine gestion de leurs écoles. Le système scolaire néo-écossais de l’époque n’était pas uniforme et ne reconnaissait pas le droit à l’éducation en français. Bien que la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse (FANE) ait demandé dès 1967 que le droit à l’éducation en français soit reconnu en Nouvelle-Écosse, ce n’est qu’en 1981 que l’Assemblée législative de la province acquiesce à la demande.
La Charte canadienne des droits et des libertés, adoptée en 1982, reconnait le droit à l’éducation dans la langue de la minorité. Ceci marque le début d’une nouvelle ère en ce qui concerne l’éducation en français langue première en Nouvelle-Écosse et au Canada.
L’histoire de l’éducation en français et de la place que prendront la culture et la langue française dans le paysage social de la Nouvelle-Écosse est en constante évolution. Le CSAP participe, par son mandat et son dynamisme, à faire grandir et rayonner l’Acadie de la Nouvelle-Écosse.
Aujourd’hui, les écoles du CSAP sont des exemples de dynamisme et de diversité culturelle. C’est là que se rejoignent les francophones de la province. Qu’ils soient originaires de la Nouvelle-Écosse ou nouvellement arrivés, c’est ici que le futur de la francophonie néo-écossaise se bâtit.
La réussite du CSAP est une réussite pour toute la province de la Nouvelle-Écosse. L’engagement des familles, du personnel ainsi que la profonde connexion entre les écoles et la communauté, contribuent non seulement à la vitalité de la communauté acadienne et francophone, mais au développement social, culturel et économique de la province entière.